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A propos de ses débuts

"Dès l'INA, j'ai choisi comme thème de mémoire le Sounou (une danse populaire de chez nous) Ïuvre réalisee, bien sur, en bogolan.Après ma sortie, j'ai décidé de poursuivre une carrière artistique en travaillant avec le groupe Kasobané, sans être bien entendu membre du groupe ."

A propos de sa profession

"J'aime bien ce job car les matériaux coûtent moins cher. Il me permet de vehiculer mes sentiments. Mes tableaux sont contemporains. Le travail est lent et minutieux. Un tableau peut prendre plus d'un mois. Cependant, je n'interviens pas sur de grandes surtaces de tissu.La grande difficulté à laquelle je suis confronté est la mevente. Souvent un tableau peut mettre 4 à 5 mois pour être vendu.

Je traite des thèmes comme le sentiment, la société, la tradition, l'environnement. C'est surtout le symbolisme et l'abstraction qui dominent dans mes Ïuvres. Ma technique est particulière. Avec la plume d'oiseau taillee, je ne peints pas avec le bogolan mais je dessine avec un mélange de traits, de pointillés et de la couleur."

A propos des expositions

"Pour l'instant, j'ai fait une seule exposition personnelle en 1993 au Centre culturel français avec une trentaine de tableaux. Et la majeure partie a été vendue. J'ai aussi participé à des expositions collectives comme "La journée des plasticiens" et une autre au Santoro dénommée "La paix".

A propos des loisirs

"En tant qu'artiste, j'aime beaucoup la musique. (elle m'inspire. Je ne peux pas m'en passer. Des fois, quand je suis en mal d'inspiration, je joue au Scrabble. J'aime surtout la chasse malgré mon infirmité (handicapé physique). J admire aussi les orchestres qui jouent dans les restaurants et les espaces cutturels. Le voyage aussi fait partie de mes passions.

Sory Ibrahlm Doumbia (1997)

 


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